Depuis 2018, Florence et Stéphanie, réinvente l’univers des boissons sans alcool en France. Leur ambition : proposer des recettes authentiques, naturelles et raffinées, élaborées avec soin à partir d’ingrédients bio et d’un savoir-faire artisanal français.
Leur signature? Le Schorle: des boissons généreuses en jus, intenses en goût et respectueuses des saisons. Rapidement adoptée, cette gamme a ouvert la voie à de nouvelles créations.
Aujourd’hui, limonades et thés glacés viennent enrichir la collection, toujours guidés par la même conviction : offrir des instants de plaisir vrai, en consommant moins mais mieux.
« Offrir un plaisir gustatif généreux et sans compromis en créant avec passion des boissons naturelles et originales. À l’écoute de nos clients et proches de nos partenaires, nous cultivons la sincérité, l’exigence et la convivialité dans chaque échange comme dans chaque bouteille. »
Le mot “Schorle” plonge ses racines dans l’histoire. Au XVIIIe siècle, les Huguenots français exilés en Allemagne avaient pour habitude de trinquer en disant “Toujours l’amour”, un toast porté avec du vin allongé d’eau pétillante.
Au fil du temps, l’expression s’est transformée : “Toujours l’amour”,“Touchour l’amour”, puis “Schorle-Morle”, avant devenir simplement “Schorle”.
Un héritage linguistique qui raconte déjà l’esprit de cette boisson : la convivialité, la fraîcheur et le plaisir de partager.
Autrefois, en France, il était courant d’adoucir son verre de vin avec un peu d’eau ou de limonade. C’est ce mélange qui a donné naissance au fameux « blanc limé », une habitude que les Allemands ont reprise à leur manière sous le nom de « Schorle ».
Mais le « Schorle » n’est pas resté réservé au vin blanc : il s’est rapidement décliné avec les jus de fruits, et c’est ainsi qu’est né l’incontournable « Apfelsaftschorle », à base de jus de pomme pétillant.
Florence, l’une des Filles de l’Ouest, a passé plus de dix ans en Allemagne. Là-bas, elle a découvert une alternative simple et rafraîchissante aux sodas trop sucrés : le fameux Schorle. De retour en France, chaque pause en terrasse ramenait la même frustration : difficile de trouver autre chose que des boissons industrielles ou des jus trop sucrés.
Son envie était claire : retrouver cette boisson légère et naturelle qui lui manquait tant.
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